mercredi 19 décembre 2012

Bûche de Noël: première répétition


Ma maman a décidé de me passer le flambeau.

la bûche de mamie est un incontournable dans la famille. C 'est elle que l'on attaque en premier l'après midi du 25 quand tout le monde est là pour le goûter

Ma mission est donc sérieuse:-)


La pâte est la partie la plus délicate à faire. Vous allez me dire: ce n'est jamais que la recette du roulé à la confiture!

Exact! mais....cela ne roule pas toujours!

Je me souviens encore des premiers essais de ma mère: trop dure, trop molle, accrochée au fond du plat, carbonisée, jetée.
Pas folle je n'avais jusqu'alors pas tenté l'expérience mais là,  j'y suis acculée.

Allez, hop on se lance!

Vous prenez donc une recette simple du roulé à la confiture (si ça roule pour la confiture ça roulera pour le chocolat)
Nous on a celle de Françoise Bernard, j'aime bien car elle met les mesures en cuillère à café, soupe... pas besoin de sortir une balance.

Allez je vous la détaille sinon vous allez vous sauver ailleurs:-)

Pour 4 à 6 personnes

Pâte à biscuit: 3 oeufs, 3 c à s de sucre en poudre, 6 c à s bien bombées de farine, 2 pincées de sel,
Garniture : Confiture au choix. Moi j'ai utilisé une confiture aux myrtilles et gelée de framboise allégées pour que ce ne soit pas trop sucré.
Matériel : 1 plaque à pâtisserie rectangulaire recouverte d'un papier sulfurisé (à cuisson)



2 terrines au fond étroit (pour bien monter les blanc en neige notamment)
1 Allumez le four th 8/9, très chaud, qu'elle disait mais maintenant avec toutes les variantes de fours c'est assez général comme indication. Ici c'est gaz tout simplement alors j'ai choisi la T° pour les pizzas: 230°

2 Biscuit : Travaillez au batteur électrique les jaunes d'oeufs, le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Dans un autre récipient, battez les blancs en neige ferme avec un peu de sel.
là ça va !

3 Au mélange sucre et jaunes, incorporez délicatement, mais rapidement, la moitié de la farine, puis la moitié des blancs en neige, bien amalgamé le tout avec une spatule pour ne pas effondrer les blancs et recommencer avec le reste de la farine, et enfin le reste des blancs en neige.
J'ai rajouté 50gr de beurre fondue à la fin pour une pâte plus moelleuse (suis gourmande).


4 Cuisson : étalez rapidement cette pâte sur 1 cm d'épaisseur, dans le moule préparé.







Enfournez à mi-hauteur du four très chaud, 5 à 10 min.
Attention! c 'est là que tout peut chavirer!
Perso, j'ai baissé le four à 210° par peur de tout cramer et je n'ai mis que 5 mn en restant à côté mine de rien.
C'est là que toute l'expérience d'une vieille dame m'a été utile.

Au bout de 5 mn ma mère a pointé son nez: Mmmh ça sent bon! 
la minuterie venait de sonner mais je ne jugeais pas ça assez cuit. Elle c'est donc approchée et en regardant par la fenêtre (du four) : les bords sont dorés

Une minute plus tard ils étaient dorés; sortie du four illico!

5 roulez le biscuit: là il faut encore les conseils de la chef
Le tout est de faire vite et bien pour ne pas que la pâte perde de son moelleux en se refroidissant
Sur le torchon propre j'ai "renversé" la pâte en laissant le papier et je l'ai laissé tiédir un peu ainsi avec le moule au dessus.

Une fois tiède j'ai pu rouler le tout:
pâte, papier et linge ( enfin là ce ne sont pas mes mains hum!)

et j'ai encore attendu; si on enlève le papier quand c'est encore trop chaud, ça accroche quand même.

Une fois bien tiédie, j'ai dégagé la pâte du linge et du papier en la déroulant avec douceur.

Oups! ça y est j'ai fait ma première pâte à biscuit!

Sur ces entre faits, ma mère c'est endormie... je me suis donc lancée seule à tartiner la pâte de confiture aux myrtilles en l'enroulant de nouveau bien serrée et je l'ai recouverte de la gelée de framboise.
Je ne sais si c'est assez ou pas?




 RV pour la dégustation ce soir :-)

les avis, les critiques après dégustation:
A l'oeil ma mère n'a pas trouvé ça très joli (j'suis d'accord mais elle aurait pu me laisser l'illusion).
Par contre au niveau goût: il n'a pas fait un plis!
Je regrette simplement que la confiture ait!  mouillée le biscuit. Est-ce parce que dans les confitures allégées il y a plus d'eau?
De tout manière pour Noël ça sera du chocolat :-) (mais je vous en dirai plus à ce moment)...

dimanche 7 octobre 2012

Retour au nid

Une étape que j'aurais voulu éviter  et qui pourtant  me fait le plus grand bien.
Se retrouver dans la maison de son enfance à 55 ans est une expérience plutôt positive pour moi,
si ce n'est le trio que je formais avec mes enfants qui a volé en éclat mais on va dire qu'il était temps.
Nous allons nous retrouver bientôt dans des conditions plus propices à l'épanouissement de chacun.
Ma mère n'a rien lâché quand à son autorité naturelle, tant qu'elle est dans ses murs, c'est elle la patronne!
Cela m'a provoqué quelques réminiscences de mon passé mais je ne me suis pas laissée faire. En usant de toute ma diplomatie, je n'ai pas tout abandonné de mes mauvaises habitudes :-)

Elle, c'est une horloge Suisse, moi... pas mieux que l'horloge dégoulinante de Dali pour symboliser le temps dans ma vie quotidienne.












Elle, c'est l'abnégation apprise contre son gré d'une mère pieuse à l'excès:
Tout plaisir est péché et même si elle s'en est toujours défendue, à en devenir farouchement athée, toute sa vie en a été marquée.
Evidemment j'ai aussi cette empreinte un peu plus délavée mais qui est réapparue dès le début de ma vie d'adulte "responsable".
J'ai mis plus de 10 ans à rééquilibrer tout ça (et c'est encore fragile), c'est en revenant vivre avec elle que je mesure le changement et je ne suis pas prête à rechausser des "chaussures vernis" (qui me faisaient mal mais c'étaient beau! :-)


Parallèlement, en travaillant sur les paperdolls (poupées en carton à habiller) pour le site de dessin Signus,  je me suis trouvée plongée dans l'univers de la mode: LA passion de ma mère!
Sous couvert de l'utile (toujours) c'est là qu'elle s'est éclatée.
Enfin nous avons un intérêt commun maintenant que je trouve un réel bonheur à dessiner la mode!

Pour aller plus loin, plus que la mode, c'est cette envie de voir du beau, de le faire, de l'inventer qui nous réunit.

mercredi 22 août 2012

Qu'est-ce qu'un tableau réussi? (suite)

Quel suspens! ...

2 jours que vous attendez  La réponse et vous croyez que je vais vous la donner! moi , qui n'en est jamais terminé un seul!
Ah mais il ne faut pas croire tout ce qui est écrit sur le net ! :-)

Soyons sérieux, j'aimerais tout simplement vous livrer les fruits de ma réflexion (voir billet précédent)

Je reprends le  tableau de Caillebotte
Au vue de son succès je me suis demandée ce qui m'attirait: la lumière, l'esthétique des corps, une certaine sensualité, l'atmosphère (référence à mon enfance dans la sciure de bois près de l'établi de mon père)... mais bon, ça c'est personnel, c'est mon histoire...
alors quoi d'autre pourrait faire l'unanimité?
Une certaine "simplicité" de la scène? les mots: clarté, pureté, netteté me viennent à l'esprit.
Pourquoi cette impression?


Alors j'ai pris une feuille et un crayon en espérant trouver quelques indices


C'est en faisant le croquis que j'ai compris 
Les 3 hommes sont parfaitement unis dans la même tâche, ça c'est assez simple grâce à l'effet de perspective pour ceux de face et la direction du geste que fait celui de gauche (malgré que je l'ai mis un peu trop en avant).
La distribution de la lumière ajoute d'autres éléments: Elle favorise largement le personnage du centre mais nous ne voyons pas son visage qui est dans l'ombre, concentré qu'il est sur son geste. Par contre le visage des deux autres personnages est partiellement éclairé de telle manière que l'on perçoive une sorte de dialogue avec celui du centre. Le peintre semble nous montrer celui qui est le chef d'équipe. Celui sur lequel les deux autres s'appuient, obéissent...
je trouve cela fabuleux! quelques lumières posées là et pas ailleurs, un port de tête plus ou moins appuyé, l'utilisation des  perspectives.. et je ne parlerai pas de tous les indices qu'il a du mettre grâce à son talent de peintre, voilà comment Caillebotte nous aimante vers son  oeuvre.
C'est là que j'en reviens à l'analyse de Dominique Bertrand sur le (les) langage déterminant de notre condition humaine.
Un tableau réussi ne peut être qu'un acte de pure création (propre à l'homme) et empli de toutes les formes de langage dont il dispose  grâce à la maîtrise de son art.

Fort à propos, aujourd'hui sur Signus, P Herzeel nous à mis cette citation qui rejoint tout à fait ce post

Sir Josué Reynolds
 Dans la pratique des arts, il est essentiel de tenir un œil vigilant et sévère sur nous-mêmes ; car la paresse se cachant sous l'apparence spécieuse de l'industrie cherche à nous aveugler par le défaut d'exercice de nos facultés ; et nous prenons le vain prétexte d'assembler les matériaux, de faire une infinité de recherches et d'observations, de nous occuper même du travail mécanique de copier, pour nous affranchir du travail véritable, celui de voir et de penser par nous-mêmes. 

lundi 20 août 2012

Qu'est-ce qu'un tableau réussi?

Question que tout "faiseur d'images" se pose qu'il soit photographe, peintre, dessinateur...

Ce dimanche, sur FB, après une discussion avec Véronik au sujet d'une de ces dernières compositions, 

la lecture d'un travail de Dominique Bertrand sur ce que fait et défait l'homme par sa singularité: LE LANGAGE


approcher sous les angles les plus divers (et sans ordre a priori) une énigme centrale : ce qu'humain veut dire. --------------------------
--- - REFLEXIONS NEOTENIQUES :
Les Zumains sont des animaux bipèdes - du genre primate - dont la caractéristique est de naître alors qu'ils ne sont pas complètement terminés, et qui sont du coup victimes du langage. Ce dernier est en effet un prédateur immatériel d'une nature particulière : il ne tue pas ses proies, mais déploie en elles une zone d'indétermination qui les rend à la fois très vulnérables individuellement et très puissantes collectivement, grâce à un psychisme éminemment plastique, et donc très sensible aux déterminations langagières. Permettant de compenser la débilité propre à chaque individu par les liens de groupe, le langage donne ainsi à l'homme un pouvoir d'articulation aux effets redoutables, le rendant capable de faire absolument n'importe quoi, du Taj-Mahal aux fusées interplanétaires en passant par la danse du ventre, la recette du canard laqué, le football, les centrales nucléaires, le saut à l'élastique et l'art de la torture la plus raffinée. Cette débilité congénitale - nommée "néoténie" - ne l'empêche pas d'avoir une très très haute idée de lui-même. Son arrogance naturelle, liée à son ingéniosité et sa ruse, en fit un transformateur radical de son milieu (au risque de l'auto-destruction), un créateur d'une inventivité incomparable, mais aussi un prédateur implacable, tant à l'égard des autres espèces animales que de la sienne propre (rare dans le règne animal). - A suivre... 
Tout ceci entra  en collision avec l'image du tableau de Gustave Caillebotte 


 "The Floor Scrapers (1875)"

Un début de réponse m'est apparu clairement:
Cette oeuvre remporte une certaine unanimité (je n'ai encore rencontré personne qui la décriait), Pourquoi?...

lundi 13 août 2012

Mon amour de vacances

Oui ça m'arrive encore :-)
Alors après il y a forcément le chagrin d'amour post vacances :-(


A même pas un an elle a déjà eu son lot de misère (en témoigne ses cicatrices sur la cuisse). Au début toute maigrelette elle n'a plus quitter le pas de la porte jusqu'au jour où on a craqué

Il faut dire que c'était la veille du passage d'un mini cyclone sur la botte italienne. je ne pouvais quand même pas la laisser dehors!

Je n'exagère pas, regardez notre vieux peuplier, les bras lui en sont tombés.

le départ approchant, je me suis mise dans la tête de l'emmener.
Les choses n'ont pas été aussi simple: l'avion OK, les vaccins OK, la cage: elle dormait dedans, les croquettes elle s'en empiffrait, la laisse il lui faudrait du temps...

Là où cela a coincé c'est le passeport !
1- je ne suis pas résidente italienne donc je n'ai pas le droit d'adopter un chien italien fut il chien errant!
2- la puce électronique ne peut être apposer que par un seul véto engagé par l'administration et il était absent!...
là sûr c'était à l'eau...snif!

Pourtant je me souviens bien qu'un jour mon mari et son père sont allés faire une carte d'identité à ma fille (car j'avais oublié de lui en faire une et j'étais passé à l'aller avec son carnet de santé!!!). Ils sont revenus quelques heures plus tard (palabre, bar, barbier pour le grand père...) avec sa carte toute neuve!
Bon il y a quelques 20 ans de cela... mais pour un chien quand même!

Bon mais promis on se reverra!

Elle est vraiment à croquer

mardi 7 août 2012

Chouchou qui veut des chouchous!!!

Ah! que c'est bon un chouchou sur la plage :-)
et bien il y a tout ce qu'il faut!

Un peu frustrée de ma seule journée près de la belle (l'Atlantique), ce cliché m'a tapé dans l'oeil et dans mes souvenirs.
Pour prolonger le plaisir j'en fais mon projet  de peinture à l'huile pour les jours (semaines) à venir.

Mais trop simple d'utiliser une photo telle qu'elle. Jon m'a gentiment mis d'autres images pour me faire ma petite composition personnelle.


J'ai fait un croquis à l'aquarelle (berk le scan) avec une vue plus rapprochée mais je ne suis pas convaincue.
je suis partagée entre montrer le sujet principal de près pour avoir le plaisir de monter les  détails ou de le fondre dans le paysage et mettre en avant cette ambiance estivale. je trouve que l'ensemble dégage une certaine fraîcheur.
et puis le parasol? bon je vire le manche, c'est sûr! :-)

lundi 6 août 2012

Aquarelle, je te haie!

Encouragée par Claude qui m'a gentiment mis sous les yeux une vidéo de Manu, aquarelliste décomplexé  et décomplexant j'ai repris ma boîte d'aquarelle.
Comme pour une nouvelle année scolaire je l'ai remise à neuf et surtout changé les  godets pour ceux de marques plus glorieuses et surtout plus efficaces: Winsor Newton: the famous mais aussi Schmicke et des aquarelles russes qui sont très chatoyantes (en l'occurence le fumé et le noir! :-)).

De ce côté là, je suis parée!

Pour me souvenir de la couleur exacte de chaque godet, je me suis refait une petite roue.

Le sujet: un paysage, je ne prends pas trop de risque au niveau dessin avec cette technique pour l'instant. Je cherche comment ça marche...

Je n'en suis pas à mon premier coup d'essai mais pour l'instant rien de convaincant. Après plusieurs séances de ripolinage j'ai opté pour son contraire: la peinture invisible car j'ai peur de perdre la lumière.

Voyons voir pour cette fois ci...


Allez soyons positifs: la lumière n'est pas totalement éteinte, (ça a bien failli dans le fond), mes arbres de droite sont "mimis" et je suis fière de mon tronc en premier plan. l'ensemble bien que d'une grande "banalitude" a un sens, ouf!


vendredi 3 août 2012

ça va faire du vide!

Encore une rentrée qui s'annonce tortueuse ou "tortureuse"...
Pour ceux qui me suivent depuis un certain temps vous savez que je me bats pour sortir d'un certain marasme dans lequel je suis tombée maintenant il y a plus de 10 ans.
j'ai testé pas mal de chemins du labyrinthe, sur certains je suis même revenue plusieurs fois à la charge (l'école)....

Après avoir abdiqué à me trouver une nouvelle voie professionnelle, je viens de tirer mes dernières cartouches sur le dernier projet qui me tenaient à coeur: réunir toute ma petite famille (enfants et maman) sous un même toit...
Je n'en dirai pas davantage car c'est à faire pleurer...
la situation va donc se dessiner ainsi: Coco



chez son fiancé (oui on peut le dire maintenant),

 Flo , à 17 ans dans un appart (là je me suis pas encore faite à l'idée),








et moi... je retourne chez ma mère!

Plus de vie de famille mais plus de dettes!
Je vous passe là aussi nos états d'âme...

Alors là effectivement, dans ma tête , ça va faire du vide et c'est très angoissant le vide.
Vais-je me laisser aller tout doucement vers la pension éducation nationale? seule vraie reconversion que la vieille maison m'a laissé entrevoir.
Il y a encore un an j'aurais dit NON!
Là, je suis tentée et c'est ce que je vais faire, à me laisser doucement vivre, être là pour les 3 personnes que j'aime et laisser venir (si ça veut bien) un désir profond, une réelle envie....
ça fait longtemps que je n'ai ressenti ce sentiment et c'est peut-être pour cela que tout à foiré???

En attendant je vais continuer à faire ce qui me donne le plus de paix: le dessin mais maintenant sans culpabilité du temps que j'y passe.
Et ça, ça change tout!

jeudi 2 août 2012

Pâté de tête!

...ou pattes et tête...de chat
Mes titres resteront énigmatiques pour Google :-)


Ce dessin m'a été inspiré par un concours du site de dessin Signus qui m'a bien aidé à progresser

C'est toujours au hasard que je fais ces croquis journaliers. L'essentiel est qu'ils me fassent plaisir et souvent qu'ils m'amusent. 


Celui la c'est surtout en le retournant que j'ai été surprise! ça ne marche donc pas dans tous les sens :-)

A part ces mises en jambes je me suis décidée à devenir efficace. C'est à dire à produire des choses montrables ou plutôt présentables.

J'ai aussi de plus en plus envie ( ou de moins en moins peur) de passer  à la couleur.
Ce mois d'août devrait voir naître quelques petites choses que je n'ose pas encore appeler tableaux, peintures...




mercredi 1 août 2012

J'enchaîne...

J'ai disparu d'ici pour me consacrer uniquement à la recherche de Mon Graal.
Non je ne l'ai pas trouvé! mais je sens que je suis sur la voie...

J'ai pris le crayon il y a quelques 5 ans, d'abord par consolation ensuite par curiosité: jusqu'où serai-je capable d'aller?
Je n'en ai pas fini de ce chemin mais je commence (oui seulement) à ressentir quelques moments de réel plaisir dans l'exécution et encore plus rare dans le résultat

D'après un dessin de Toulouse Lautrec

Ah oui! je ne vous ai pas dit! je ^parlais de dessin :-)

Levée de rideau

Juste un coin seulement
La salle est vide mais les fauteuils sont toujours là.
Les lumières fonctionnent
La vidéo, la musique, de mieux en mieux sous traitées par You tube, Deezer et Cie.
Les images j'en ai plein partout!

L'envie me chatouille depuis un moment de recommencer ces rendez-vous avec moi même et d'autres tant qu'à faire.
Il va falloir que je rameute les copains, copines encore dans les parages... et puis au petit bonheur la chance aller à la découverte....

Première chose: LE MÉNAGE
Mais quoi jeter?
C'est que j'en ai écrit des trucs plus ou moins malins: Je continue à assumer ou non?
Mais effacer c'est un peu tricher, dans ce cas il vaut mieux en faire un neuf.

Mais c'est Le blog, seul et unique que j'ai tenu et qui a dépassé les 3 billets :-)
Allez, je reprends comme ça ...

Je vous offre un rayon de soleil que j'ai ramené d'Italie il y a une semaine