mardi 1 avril 2008

CA BAIGNE



J'aimerais bien y aller, quelqu'un veut venir avec moi?



13 commentaires:

Anonyme a dit…

ben le 7 avril, j'ai déjà une super soirée d'prévue ! dommage !

Anonyme a dit…

Euh...j'ai pas mon permis de pêche...

Anonyme a dit…

Tu es toujours en train de nager, tu veux remplacer Laure pour les J.O...?

marilyne a dit…

ça fonctionne jamais quand je met un com grrrrr !!! J'avais écrit que je vous enviais de pouvoir choisir des trucs interessants à voir, moi ici , rien... dans ma cambrousse, il n'y a rien. pas d'expo géniale, pas de spectacle, ou si peut, bref , c'est le néant à part un karaoké dans un café minable.

Lhuna a dit…

Tant mieux si tout baigne!
Est-ce si sûr?
Bonne journée.

sylvie a dit…

Oui Lhuna, çà baigne, enfin ça rebaigne dans le jus de "la normalité", tu sais reprendre une place dans la vie sociale. ça fait du bien quand on s'est senti exclu. Même si mon blog montre une certaine inquiétude je suis dans l'action et j'aime me sentir ainsi.
bises à tous
PS/ PLUS DE BLOG? LHUNA?

Anonyme a dit…

Bonne soirée ... je penserai à toi !

Anonyme a dit…

Pour la préfecture du Loiret, la Tchétchénie vaut vraiment le détour
LIBERATION.FR : dimanche 6 avril 2008
Rovman est tchétchène. Ancienne combattante, arrêtée, torturée et hospitalisée à Grozny, elle a quitté son pays en janvier 2008 pour gagner la France avec ses deux enfants. Son mari est décédé depuis peu. Rovman doit quitter le territoire sur ordre de la préfecture du Loiret.

Anonyme a dit…

COUP DE GUEULE !

Le gouvernement supprime des classes dans le public et va en créer dans le privé
Depuis plusieurs semaines, des lycées sont bloquées tantôt par des enseignants, tantôt par les élèves eux-mêmes. Motif de la contestation : les suppressions de classes et de postes d'enseignant pour la rentrée 2008.
Près de 630 de postes d'enseignants seront supprimés l'année prochaine. Si le rectorat affirme que le taux d'encadrement restera identique dans l'académie en raison d'une baisse démographique, dans les faits, une hausse des effectifs par classe est constatée partout. Dans des lycées situés en zone violence, le nombre d'élèves par classe va être porté à 30 en classe de seconde, et à 35 en première et en terminale. Et si certains lycées en zone sensible avaient réussi à être préservés, désormais, toutes les classes doivent être remplies au maximum.
Les suppressions de classe obéissent à une logique purement financière : puisque les "caisses de l'Etat sont vides", tous les ministères doivent réduire leur dépense, à commencer par celui qui dépense le plus : le ministère de l'Education nationale. Jusqu'à présent, le ministère est resté sourd aux revendications et s'attachent à minimiser les difficultés.
Mediapart a révélé que Xavier Darcos préparait un projet de loi qui risque de faire l'effet d'une véritable bombe au sein de la communauté éducative : à l'heure où le gouvernement supprime des classes dans le public, un fonds spécial serait créé pour favoriser la création de classes... dans le privé.
La création de ce fonds servirait à aider l'école privée à se développer en banlieue. Jusqu'à présent, les écoles privées étaient avant tout installées dans les centres-villes. Si elles n'étaient pas hostiles à s'installer en banlieue, elles réclamaient depuis toujours une aide supplémentaire de l'Etat pour le faire. Ce sera chose faite pour la rentrée 2008. Environ une cinquantaine de classe devrait être créée dans les établissements privés catholique.
Alors que les professeurs du public manifestent depuis plus d'un mois, cette annonce pourrait être considérée comme une véritable provocation. Pourtant, à plusieurs reprises, Nicolas Sarkozy et le gouvernement avaient laissé entendre qu'ils aideraient l'école privée. Mais à chaque fois, ces annonces ont été très discrètes : durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy avait déclaré qu'il fallait faire en sorte que les familles vivant dans les quartiers difficiles aient un choix entre l'école privée et l'école publique. Dans la lettre de mission envoyée à Xavier Darcos, une ligne évoquait ce projet : "Vous ne dissuaderez pas les établissements privés de s'installer dans des quartiers en difficulté, au contraire".
Le sujet est explosif. Les relations entre le privé et le public ont toujours été chaotiques. Le public reprochant au privé d'être en partie financé par l'Etat, de pratiquer une sélection par l'argent et de récupérer les meilleurs élèves. A l'heure où les conséquences des restrictions budgétaires dans le public se font sentir, un coup de pouce de l'école privée serait incompris par les enseignants du public.
Depuis la loi Debré de 1959, l'Etat verse une subvention de fonctionnement aux écoles privées, proportionnellement au nombre d'élèves qui y sont accueillis. Par ailleurs, l'Etat paye le salaire des enseignants du privé. Pour maintenir le statu-quo entre privé et public, une règle tacite existe depuis 1985 : le 80-20. Au concours, on réserve 80% des postes pour le public et 20% des postes pour le privé. En clair, quand le nombre de postes au concours diminue dans le public, il diminue aussi dans le privé.
Selon plusieurs sources, c'est cette règle qui devrait voler en éclat. Sans toucher officiellement à cette règle, le gouvernement pourrait multiplier d'autres dispositifs parallèles, ajouter des lignes budgétaires supplémentaires dans l'unique but de pouvoir financer d'autres créations de postes dans le privé.
Dès la rentrée de septembre 2008, le fonds devrait financer la création d'une cinquantaine de classes dans des quartiers difficiles. En pratique, l'Etat va prendre en charge "un forfait d'internat" dans les cas où les élèves seront hébergés en pensionnat. Ce forfait n'existait pas auparavant. Par ailleurs, l'Etat va également prendre en charge la rémunération des enseignants affectés dans ces nouvelles classes. Dans le cadre du plan de Fadela Amara, "Espoir banlieues", ce dispositif viendrait s'ajouter à la règle tacite du "80-20". Autrement dit, l'Etat va créer des postes supplémentaires dans le privé.
Pour faire passer la pilule, le gouvernement devrait dans un premier temps sélectionner des établissements au profil très particulier. Par exemple, l'école des Orphelins apprentis d'Auteuil pourrait bénéficier de ces aides financières supplémentaires, l'idée étant de financer en priorité les établissements qui viennent en aide aux élèves qui sont sur le point de sortir du système scolaire sans diplôme. Par ailleurs, plusieurs établissements de centre-ville devraient créer des annexes en banlieue.
La stratégie du gouvernement est donc claire : développer l'école privée et diminuer le coût de fonctionnement de l'école publique. Pour tenter de contourner toutes les difficultés de ce type de projet, le gouvernement va y aller progressivement : le fonds privé va d'abord financer peu de classes, et ne concernera que des établissements symboliques pour éviter de heurter l'opinion. Mais, par la suite, rien n'empêchera l'Etat d'augmenter sa participation dans ce fonds d'investissement. C'est ce qu'on pourrait appeler la deuxième réforme cachée de l'Education.

J'espére que les Français vont se réveiller, on ne peut pas laisser tomber l'éducation de nos enfants dans les mains de gestionnaire d'argent, et qui va encore plus partager les pauvres des riches, l'éducation est importante et ce nouveau projet du gouvernement me mets hors de moi, marre de ce Sarko qui fait tout pour les plus aisés, quand je pense aux abrutis qui ont pu votés pour un mec pareil, dans ce cas là il n'y a plus qu'à privatiser la France entière en la vendant à des multi-nationales !!!!
Putain bougeons nous, et pendons haut et cour le menteur qui nous gouverne !

Anonyme a dit…

Lhuna tu nous manque :-(

sylvie a dit…

LV, t'es encore là?

sylvie a dit…

ce blog est vraiment trop exigûe! pour mener une information digne de ce nom, en direction d'un large public Même passager, j'aimerai ouvrir un blog franchement racoleur pour qu'un maximum de personnes puissent y prendre de l'info, j'y mettrais bien tous les compteurs classements pub... car pour l'instant à part les jeunes dans la rue et quelques grèves épisodiques de pro et d'assoc de parents pas grand chose ne transpire. Pour le peu que je regarde la tv c'est révoltant!
LES PROFS NE VONT PAS DANS LA RUE POUR LEURS AVANTAGES MAIS BIEN PARCE QU IL Y A UN PROGRAMME D EDUCATION ALARMANT QUI SE MET EN PLACE

Anonyme a dit…

Sylvie, tu refais surface...?
Bon mercredi! ;-)))